la matrice de certaines programmes Dès l’aube, la appartement s’éveilla dans une énergie studieuse. Les bénévoles s’étaient offert rencontre pour s'accommoder la première édition du « cercle d’accueil », prévue le week-end optant pour. Chacun avait une tâche assignée : bâtir les affiches, vêtir en forme l'application, ou préparer un courrier invitant mes amies maison du monde possible partager leurs développées sur la voyance gratuite. Dans un positionnement de la grande assemblée, Madeleine, Anne et deux distinctes comparses s’attelaient à bien la fabrication d’un fascicule explicatif. À l’intérieur, on y présentait les ascendances présumées de la voyance olivier, la démarche délicieux de la voyance gratuite, ainsi que neuf ou 10 extraits tirés des manuscrits retrouvés au grenier. L’idée était d'apporter à tout arrivant un lieu lumineux et concis, évitant donc toute scandale sur les objectifs justes de la bâtisse. Au cours des moments douloureux, on vit la appartement se transvaser de rires, d'attention concentrées et de va-et-vient continuels. Un poêle improvisé réchauffait l’atmosphère, alors que la lumière dorée du matin éclairait de quelques piles de papiers, de crayons et de vieux grimoires. Ici, une personne s’affairait à recopier de quelques annotations, là, un autre vérifiait que les mots-clés, notamment voyance gratuite et voyance olivier, figuraient bien dans le livret. La saisie de pressentiment collective était nette : il ne s’agissait pas de s’improviser experts d’un dogme, mais pas trop de partager une approche où la guidance pieuse devenait correctement maturité. Pendant la pause de midi, on prit le temps de repérer une soupe et de certaines tartines, l’odeur du pain grillé se attachant au voyance gratuite parfum des herbes séchées. Les conversations dérivèrent aisément sur l’avenir : certains avaient déjà repéré d’autres maisons dans la capacité de pouvoir joindre ce qu’on commençait à bien être à l'origine de le « Réseau Olivier ». D’autres voulaient renforcer la dimension solidaire, en proposant des usine de formation à bien la voyance gratuite, qui rendraient chaque visiteur autonome dans sa personnelle recherche intérieure. Dans l’après-midi, Madeleine s’absenta un instant pour voguer causer le tour du jardin. Le indolent de l’hiver commençait à bien faire sentir, et les parterres de fleurs se mettaient en dormance. Mais nonobstant cette apparente léthargie, le sol recelait des graines, prêtes à proférer durant la merveilleuse saison. Elle y vit un espoir considérable de la démarche en cours : ce qui, aujourd’hui, se construisait discrètement, germerait dans les cœurs une multitude de voyageurs, nourrissant un grand mouvement spirituels débarrassé de l’obscurité mercantile. De retour à bien l’intérieur, elle retrouva Anne, tout sourire, qui lui montra la maquette quasi achevée du fascicule. On y voyait en la première thématique une riche branche d’olivier stylisée, synonyme d’accueil, et en dessous, le sous-titre citant la voyance gratuite. Les premières lignes affirmaient : « Ici, la clairvoyance se donne et se reçoit dans le bonheur, sans enjeu social, dans la coutume vivante de la voyance olivier. » Satisfaite, Madeleine leva les yeux poésie son alliée. Elles échangèrent un regard complice, conscientes du chemin parcouru depuis les occasions où la bâtisse était encore soumise à ses obscurcissements. Pour la première fois, tout paraissait s’aligner à la fois. Les pages du passé retrouvaient leur sens dans le présent, alors que le futur s’ouvrait marqué par la forme d’une œuvre collective. Dans le silence de la fin d’après-midi, le livret assurément pour toujours validé fut déposé sur la table, prêt à bien représenter imprimé et distribué. C’était un seul fait, mais qui portait déjà en lui la force d’un lueur. Bientôt, tout visiteur peut repartir avec ces quelques feuilles, gages d’une bienveillance plus riche, et cependant deviendrait-il à son tour un messager de la voyance gratuite et de la voyance olivier.